Center Parcs, ZTE, Vinci, Viennopoles, Dailypapier… Ces dossiers ont été déterminants dans le vote des électeurs de la Vienne. Avec la Majorité départementale, diverse et mobilisée, nous avons fait une campagne sur le bilan des équipes Fouché et Bertaud et sur nos projets pour l’emploi. Les résultats sont sans appel : dans une période nationalement difficile, la Majorité améliore ses positions. En Poitou-Charentes, les départements représentent l’action publique sérieuse, tolérante et généreuse.
jpr
29 mars 2011 à 14 h 52 min
Bonjour à tous,
Comme il n’y a pas de nouveau sujet sur la pitoyable bouillie électorale, je post ici un petite lien sur le Portugal et le FMI (vu par Lula).
Dios comme il a raison !!!!!!!
http://www.ntn24.com/noticias/expresidente-brasilero-dice-que-el-fmi-no-resolvera-la-crisis-economica-en-portugal-0844
Au lieu de patauger dans les méandres de la défaite et des éventuels accords ou désaccords de 2012, si l’on se préccupait en urgence de notre économie et de notre industrie. Ailleurs « ca sprinte…. ».
Bien cordialement.
29 mars 2011 à 19 h 55 min
« Débrayage à l’entreprise Forclum de Laval (Mayenne)
Une quarantaine de salariés de Forclum Laval en Mayenne ont débrayé pendant une heure, ce lundi, de 8 h à 9 h. Ils protestent contre le licenciement d’une salariée annoncé le 18 février. Une lettre a été adressée au directeur du site en poste depuis un an. Filiale du groupe Eiffage construction, l’entreprise de travaux public installée zone des Touches emploie 175 salariés. Elle est notamment spécialisée dans la pose de réseaux câblés et électriques, l’éclairage public, l’induction d’eau…
(Ouest-France du 29 mars 2011) »
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Bonjour
Yvette travaille depuis dix ans dans cette entreprise.
Elle n’a jamais compté ses heures et elle est très appréciée dans son travail de gestionnaire de paie.
Pour des motifs d’une futilité désarmante, son responsable de service a monté un dossier contre elle en vue de la licencier.
Le couperet tombe et Yvette doit quitter l’entreprise.
Incompréhension des salariés !
Les messages de soutien s’affichent publiquement pour certains, plus discrètement pour d’autres.
Yvette refuse de baisser les bras !
Elle conteste les accusations mensongères qui s’étalent lamentablement sur trois pages d’un document blessant !
Elle va se battre pour retrouver son honneur, annuler son licenciement et obtenir sa réintégration dans l’entreprise.
Un moment sonnée, épuisée, découragée, baignant dans des idées noires, elle a choisi de relever la tête.
Face à un dirigeant profondément manipulateur, le combat s’annonce difficile.
Mais cette petite gestionnaire de paie à 1300 euros tient grâce aux ouvriers qui refusent de la laisser partir !
Yvette est mon épouse depuis trente-deux ans et je suis fier d’elle.
Au-delà de son cas personnel, c’est la souffrance au travail, l’abus de pouvoir des hiérarchies, la brutalité inhumaine des procédures teintées de calomnies et de propos diffamatoires qui interpellent.
Jugée sans doute trop proche des salariés, souhaitons à Yvette de remporter cette bataille car, à cinquante-deux ans, elle a encore sa part d’humanité à offrir.
Bien amicalement,
Ju’âne Pedro (Mari d’Yvette)
29 mars 2011 à 20 h 47 min
Ju’âne, j’envoie plein d’énergie à Yvette …et aussi la protection du syndicat des fées… Un vrai bouclier de lumière contre tout ce qui peut être nuisible… Elle a le soleil au-dessus d’elle et la lune à ses pieds… c’est une princesse !
Mélusine
29 mars 2011 à 20 h 56 min
Merci Mélusine, je vais lui montrer ton message !
Big bisous !!!!
30 mars 2011 à 10 h 43 min
Les cons voyeurs de l’absurde
Le complexe du con devenu patron
Le petit con pressé deviendra citron
Un con tenu en laisse lèvera la pate
Pâtissière pour con vert névropathe
Deal du con promis à un bel avenir
Les cons vivent aussi de sous venir
Chance aux petits cons du bonheur
Et témérité des jeunes conspirateurs
Les cons chez La joie iront au dîner
Le con cierge bulle à potron-minet
Un filon, ces cons nippons en fusion
Les cons sanguins pètent les plombs
La Lolita qu’on fesse, une conne rit
Le con descendant monte une ânerie
L’œilleton pour cons voyeurs borgnes
Pour les cons frontistes, cet œil caché
Pour le con imbibé, vision d’ivrogne !
Le con poster voyage collé, un timbré
Alain
PS : courage à Juâne Pedro
2 avril 2011 à 14 h 48 min
Bonjour
Yvette a craqué cette nuit.
Elle m’a parlé à plusieurs reprises de suicide.
Elle se sent abandonnée par tous , à tort sans doute,et n’accepte pas l’idée d’être licenciée de manière si injuste.
J’ai peur pour elle, pour sa santé, pire pour sa vie.
Je suis déterminé à me battre pour faire savoir comment Forclum traite une salariée dévouée à son travail.
Bien sûr, il existe des procédures pour trancher les conflits salarié, employeur.
Mais dans le cas d’Yvette, en lisant ce qu’on lui reproche et ce qu’elle répond, je devine la volonté de démolir une personne.
Je suis en colère, très en colère !
Nous sommes dans la mise en danger de la vie d’autrui.
Aucune pression ne me fera taire car je veux sortir Yvette de sa désespérance.
Une entreprise de travaux publics vit en partie de marchés publics.
J’ai alerté avec toute la force d’un homme en colère, des élus locaux de tous bords
et des journalistes locaux, leurs réponses sont toutes les mêmes : l’étonnement, l’interrogation et l’indignation.
Pour conclure, comment Yvette peut-elle être à la fois jugée par son responsable « compétente et rigoureuse » lors de son entretien annuel du 8 février et « laxiste et incompétente » quelques jours plus tard dans une lettre de licenciement ?
Tous les élus à qui j’ai montré les documents « Entretien annuel » et lettre de licenciement, sont profondément choqués par cette évidente contradiction.
Yvette a craqué cette nuit.
Elle m’a parlé à plusieurs reprises de suicide.
Elle se sent abandonnée par tous, à tort ou à raison et n’accepte pas l’idée d’être licenciée de manière si injuste.
Face à cette injustice, il nous reste la force de s’indigner.
L’indignation est une arme redoutable car elle est très contagieuse.
Je vous souhaite une bonne journée à tous !
Ju’âne Pedro (Jean-Pierre Georget) mari d’Yvette.
2 avril 2011 à 17 h 48 min
Alain, j’aime bien ton poème, mais tu comprendras que mon sens de l’humour est entre parenthèse en ce moment !
Bien amicalement